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Affichage des articles du avril, 2015

Hommage aux étudiants Kenyans

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#147 147, non, ce n’est pas l’indicatif d’un pays, encore moins le numéro d’un passager d’un  vol. 147, c’est le nombre d’étudiants kényans abattus froidement par des individus sans foi  se réclamant de l’Islam. 147 étudiants qui ont eu pour seul tort de se rendre à l’université pour apprendre, se former et contribuer à l’évolution de l’Humanité. 147, c’est le nombre de familles endeuillées. 147, c’est le nombre de futurs scientifiques, de juristes, de sociologues, de médecins… arrachés au Kenya donc au continent africains et au monde. 147, c’est le nombre  de morts qui vient s’ajouter à une très longue liste de personnes massacrées par des soi-disant défenseurs  de l’Islam. Connaissent-ils réellement ce qu’est l’Islam, cette belle religion qui prône amour du prochain,  pardon et tolérance ? 147, c’est aussi le nombre d’amis, de futurs époux et épouses arrachés des soins de leurs proches Qu’est ce qui peut justifier de telles atrocités ? Où vas donc cette Humanité qui se car

propriété de la ville de Bamako

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#Renaissance_de_Bamako_la_coquette??? Confier l'assainissement de l'une des capitales les plus sales du monde à une entreprise étrangère avait fait les choux gras de la presse écrite et fait le buzz sur les réseaux sociaux. Pour beaucoup, cette tâche devait revenir à une entreprise locale et je partage entièrement ce point de vu, car nous devons apprendre à valoriser le génie national et à consommer malien. Pour ceux qui diront qu'il n'existe pas d'entreprise au Mali à même d'assurer cette tâche, nul besoin de vous rappeler les campagnes d' assainissement menées par l'entreprise Toguna-Agro-Industrie à la veille de l'investiture du président de la République et lors de la commémoration du 54e anniversaire du Mali. Cependant, le marché étant déjà attribué, reconnaissons la qualité du travail que fait aujourd'hui l'entreprise Ozone. Pour s'en rendre compte, il vous suffit juste de faire un tour dans la ville de Bamako, impossible

Alt au phénomène des enfants mendiants

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#Tous_coupables Ce matin, ma route a croisé celle de ce petit garçon, un mendiant communément appelé "Garibou". J'en vois presque chaque jour  et je suis sûr que c'est le cas pour vous également . Mais celui-là avait quelque chose de particulier. Sur son visage,  on pouvait constater, des traces de brûlures. En dépit de la "canicule" que nous vivons actuellement(environ 45°C), ce petit ne portait pas de chaussure. Et lorsque je lui ai demandé qu'est-ce qu'il avait eu au visage, il me rétorqua qu'il était tombé sur le grillage chaud d'un vendeur de viande braisée. Comment cela est-il  arrivé? M'avait-il dit la vérité? N'était-ce pas une sanction que son maître lui avait infligé? Mais pourquoi cet enfant au lieu d'être à l'école comme les autres enfants de son âge se trouvait là et sans chaussure, en haillon? Pourquoi ceux qui lors des cérémonies et autres manifestations(Sumu) donnent des millions pour enrichi
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Fidèle à son crédo qui est l'éducation à la citoyenneté,  #Blonba était hier à #Bakarybougou pour une animation interactive et audiovisuelle. Animée par le responsable de #Blonba, Alioune Ifra Ndiaye, cette soirée a vu la présentation de films tels que "Banyango", "tagninibougou" et des échanges avec les habitants de Bakarybougou venus massivement pour s' informer et s' éduquer afin d'être des citoyens modèles. Joindre l'utile à l'agréable,  voici le pari qu'a gagné hier l'équipe de Blonba. On pouvait en effet  lire la satisfaction sur les visages des spectateurs, beaucoup ont exprimé le souhait de voir de telles initiatives s' étendre aux autres quartiers de Bamako et même à l'intérieur du Mali. Rappelons que Bakarybougou était la deuxième étape de cet événement après celle de la FSEG. Comme le souligne George Orwell  écrivain et journaliste anglais, « Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs,
"Toujours être bon avec les bons,mais jamais être mauvais avec les mauvais, parce que vous ne pouvez pas laver la boue avec la boue"